Elle donne naissance à son premier enfant à 72 ans ! Découvrez à quoi ressemble le bébé !
Bien
que les gynécologues insistent pour qu'une grossesse tardive soit risquée parce
qu'elle met en péril la santé de la mère et de l'enfant, il y a beaucoup de cas
de ce type de grossesse. Aujourd'hui, nous allons vous raconter l'histoire d'un
Indien nommé Daljinder Kaur, qui a donné naissance à son premier enfant à l'âge
incroyable de 72 ans en Inde, qui n'est pas une première pour le pays.
Cette
femme est tombée enceinte à l'âge de 72, par la fécondation in vitro. Elle a
donné naissance à son premier enfant en avril 2016 au Centre national de
fertilité dans l'état d'Haryana, dans le nord de l'Inde, d'un petit garçon en
bonne santé. Ce couple de 70 ans a été marié pendant 46 années et a essayé sans
succès d'avoir un enfant. Après avoir vu une annonce sur la fécondation in
vitro, Daljinder se sentait prêt à avoir un bébé et ils ont décidé de concevoir
un enfant. La fertilisation aurait été effectuée à partir des ovules du couple
et du sperme. Cette grossesse controversée a soulevé plusieurs questions sur
l'éducation de l'enfant et ce qui va devenir de lui à la mort de ses parents.
Mohinder Singh Gill, le père, dit qu'il a la foi en Dieu et qu'il prendra soin
de leur enfant quand viendra le temps
La grossesse par fécondation in vitro en
Inde
La
grossesse par fécondation in vitro pour les sexagénaires et les septuagénaires
est monnaie courante en Inde. Les femmes sont sous pression sociale dans ce
pays et elles se doivent d’avoir un enfant, même après la ménopause. Ce
traitement est d’autant plus répandu, qu’il ne coûte pas cher. Bien que
certains membres de la communauté médicale indienne, et le président de la
fédération des 31.000 gynécologues indiens dénoncent le traitement offert à
Daljinder Kaur et souhaitent la régularisation de ces pratiques par des lois,
le Docteur Bishnoi, responsable de la clinique où cette dernière s’est rendue,
défend les droits de ses patients en affirmant que la reproduction est un droit
fondamental et qu’il est impossible pour le gouvernement de régir cela. Il dit
même que, bien que le gouvernement indien souhaite faire de la prévention pour
les femmes de plus de 50 ans voulant procréer, il n’a aucune base pour
justifier cela en ajoutant que ses patients ne tuent personne et donnent au
contraire la vie.
Les femmes qui ont eu une grossesse
tardive
Les
risques qu’encourent ces femmes ayant une grossesse « ultra tardive », sont
comme suit : une hypertension
artérielle, un diabète gestationnel, une fausse couche ou un dysfonctionnement
thyroïdien. De plus, il existe des risques pour la santé de l’enfant.
Pourtant
nombreuses sont les femmes à avoir accouché après l’âge de 50 ans, même si
certains pays interdisent la fécondation in vitro au-delà d’un certain âge.
Certaines femmes détournent ces interdictions en se rendant à l’étranger, en
Inde par exemple, ou en mentant sur leur âge.
Bien
que les gynécologues insistent sur le fait qu’une grossesse tardive soit
risquée car elle met en danger la santé de la mère et de l’enfant, on constate
qu’il existe énormément de cas de ce type de grossesse. Aujourd’hui nous allons
vous raconter l’histoire d’une indienne nommée Daljinder Kaur, qui a accouché
de son premier enfant à l’âge incroyable de 72 ans, en Inde, ce qui n’est pas
une première pour le pays.
Cette
femme est tombée enceinte à l’âge de 72 ans, par fécondation in vitro. Elle a
accouché de son premier enfant en avril 2016, au Centre National de Fertilité
dans l’État de Haryana, au nord de l’Inde, d’un petit garçon en bonne santé. Ce
couple de septuagénaire est marié depuis 46 ans et avaient essayé sans succès
d’avoir un enfant. Après avoir vu une publicité sur la fécondation in vitro,
Daljinder s’est sentie prête à avoir un bébé et ils se sont décidés à concevoir
un enfant. La fécondation aurait été réalisée à partir des ovules et du sperme
du couple. Cette grossesse controversée a suscité plusieurs interrogations
concernant l’éducation de l’enfant et ce qu’il deviendra au décès de ses
parents. Mohinder Singh Gill, le père, affirme qu’il a foi en Dieu et que ce
dernier s’occupera de leur enfant au moment venu.
La grossesse par fécondation in vitro en
Inde
La
grossesse par fécondation in vitro pour les sexagénaires et les septuagénaires
est monnaie courante en Inde. Les femmes sont sous pression sociale dans ce
pays et elles se doivent d’avoir un enfant, même après la ménopause. Ce
traitement est d’autant plus répandu, qu’il ne coûte pas cher. Bien que
certains membres de la communauté médicale indienne, et le président de la
fédération des 31.000 gynécologues indiens dénoncent le traitement offert à
Daljinder Kaur et souhaitent la régularisation de ces pratiques par des lois,
le Docteur Bishnoi, responsable de la clinique où cette dernière s’est rendue,
défend les droits de ses patients en affirmant que la reproduction est un droit
fondamental et qu’il est impossible pour le gouvernement de régir cela. Il dit
même que, bien que le gouvernement indien souhaite faire de la prévention pour
les femmes de plus de 50 ans voulant procréer, il n’a aucune base pour
justifier cela en ajoutant que ses patients ne tuent personne et donnent au
contraire la vie.
Les femmes qui ont eu une grossesse
tardive
Les
risques qu’encourent ces femmes ayant une grossesse « ultra tardive », sont
comme suit : une hypertension
artérielle, un diabète gestationnel, une fausse couche ou un dysfonctionnement
thyroïdien. De plus, il existe des risques pour la santé de l’enfant.
Pourtant
nombreuses sont les femmes à avoir accouché après l’âge de 50 ans, même si
certains pays interdisent la fécondation in vitro au-delà d’un certain âge.
Certaines femmes détournent ces interdictions en se rendant à l’étranger, en
Inde par exemple, ou en mentant sur leur âge.
En
Espagne, Maria Del Carmen Bousada, a connu une notoriété grâce à sa grossesse
gémellaire tardive à l’âge de 66 ans. Elle a pu tomber enceinte grâce à la fécondation in vitro, réalisée dans une
clinique de fertilité de Los Angeles, où elle a prétendu avoir 55 ans, l’âge
limite pour bénéficier de ce traitement. Elle est décédée tragiquement en 2009,
des suites d’un cancer, probablement dû au traitement hormonal massif pendant
la fécondation, alors que ces jumeaux n’avaient que deux ans et demi.
En
France, Jeanine Salomone a quant à elle, accouché d’un garçon à Fréjus, en
2001, à l’âge de 62 ans. Elle a pu porter l’enfant grâce aux dons d’ovules
d’une mère porteuse américaine et au sperme de son frère handicapé puis un
second enfant, une fille, a été portée par une mère porteuse d’origine
allemande, pour des critères physiques. Tout cela a été faisable dans une
clinique des États-Unis. Elle et son frère n’ont donc pas un mais deux enfants
ensemble, fécondés le même jour et nés à quelques semaines d’intervalle, l’un
en France et l’autre aux États-Unis. Jugée d’inceste moral, Jeanine a toujours
défendu sa grossesse et son désir d’enfant, souhaitant absolument assurer sa
descendance « génétique » et a publié un livre sur son histoire. Elle
est décédée en 2015, à l’âge de 75 ans.